PERSONNES ILLUSTRES ET CÉLÈBRES NÉES À BOGOTA

 
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Écrivains, poètes et intellectuels   (Page 2 sur 3)






























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Auteurs, poètes et intellectuels
(Par ordre de date de naissance)

Enrique Ortega Ricaurte
(1893-1962), historien, académicien et juriste.
L'illustre Enrique Ortega Ricaurte fait partie des historiens les plus importants qu'a eu le pays. Il fut membre de l'Académie colombienne d'histoire et directeur des Archives nationales de la Colombie, où il fit connaître des documents de grande signification pour l'histoire de la nation.
Il est l'auteur de nombreuses oeuvres dont Les Personnes illustres de Bogota, Lettres inédites du Libérateur, Missions colombiennes dans les archives européennes, Cimetières de Bogota, Héraldique colombien, Histoire documentaire du Chocó, Ceux qui ne peuvent être conquis, La Guerre des Pijaos 1602-1603, plusieurs monographies comme Villavicencio 1842-1942 et San Salvador de Sopó.

Daniel Samper Ortega (1895-1943), écrivain et professeur.
Samper Ortega a été une figure éminente de la culture et de la littérature du pays.
Son plus grand apport à la nation a été la publication de la Biblioteca Aldeana (bibliothèque villageoise) de la Colombie appelée également Sélection Samper-Ortega, une série de cent volumes intégrant les oeuvres des principaux écrivains du pays.
Il est lui-même l'auteur de Dans le brouillard, La Madre del Castillo et de Notre beau pays colombien.
Pour ce dernier ouvrage, il obtint le Prix de Geografía Patria accordé par la Société géographique de la Colombie.

Federico Rivas Aldana -Fray-Lejón- (1900-1982), journaliste et poète.
Un des chroniqueurs les plus lus du pays, il fut collaborateur à des revues et des journaux, plus particulièrement au journal El Tiempo où il rédigea pendant presque 40 ans sa chronique Buenos días écrite en vers et pleine d'humour, dans laquelle il critiquait les politiciens de l'époque.
Il était aussi célèbre pour sa colonne Hace 20 años et sa colonne Gazapera, origine de ses mots croisés humoristiques quotidiens.

Germán Arciniegas Angueyra
(1900-1999), historien, essayiste, humaniste, politicien, docteur en droit, professeur, académicien et journaliste.
Ce brillant écrivain, un des meilleurs historiens d'Ibéro-Amérique, s'est mérité le titre de l'« Homme des Amériques ».
Il occupa de hauts postes politiques, fut président de l'Académie d'histoire, membre de l'Académie colombienne de la langue et d'autres instituts culturels du pays et du monde. Il fonda le Musée national et le Musée colonial et signa le décret menant à la création de l'Institut Caro y Cuervo. Il créa plusieurs revues.
On doit à sa plume environ soixante livres et plus de quinze mille articles de presse. Quelques titres de son ouevre : L'étudiant de la table ronde, Biographie du Caraïbe , Entre la liberté et la peur, Le revers de l'histoire, L'Amérique en Europe, El Caballero de Eldorado, Jeunesse et mort du libérateur.

Emilia Pardo Umaña (1907-1961), journaliste, chroniqueuse et écrivaine.
Elle fut la première femme journaliste de la Colombie.
Les chroniques d'« Emilia », publiées dans les journaux El Espectador, El Siglo et El Tiempo et parmi les plus lues en Colombie, affichaient un caractère critique vis-à-vis les politiciens de l'époque.
Une autre de ses chroniques, « Ki-ki, la docteure amoureuse », recevait un grand accueil. Elle écrivit également pour la revue Sucesos et l'hebdomadaire Sábado. On lui doit un roman publié en 1951 ayant pour titre Un mort dans la légation.

Eduardo Zalamea Broda (1907-1963), journaliste, écrivain et poète.
Zalamea commença sa carrière journalistique au journal La Tarde, dans les pages duquel il publia son poème Bahíahonda, puerto guajiro. Il fut par la suite nommé chef de rédaction du journal El Liberal et eut une chronique au El Espectador sous le pseudonyme de « Ulises ». Il dirigeait aussi le supplément culturel de ce même journal.
Son roman Quatre années à bord de moi même lui apporta la renommée.

Carlos Lleras Restrepo (1908-1994), intellectuel, avocat, journliste et écrivain. Président de la République [1966-1970],
L'éminent politicien Carlos Lleras Restrepo obtint un doctorat en droit à l'Université Nationale.
Il commença à un jeune âge sa brillante carrière politique comme vice-président de la Convention nationale libérale. Il fut délégué à l'Assemblée Cundinamarca, secrétaire du gouvernement, président de la Chambre des représentants, Contralor general de la République, ministre des Finances, vice-président du Conseil économique et social des Nations Unies, délégué aux conférences internationales de la monnaie et du commerce.
Il prit part à la conférence de Genève en 1964. Il fut gestionnaire au Fond national du café, à l'Institut de promotion industrielle, à l'Institut du crédit territorial et à l'Institut géographique Agustín-Codazzi. Il fut en outre professeur universitaire, directeur du journal El Tiempo, fondateur de la revue Nueva Frontera et avocat au sein de multiples entreprises nationales et internationales.
Lleras fut élu président de la République en 1966. Pendant son administration, on créa le Fonds national de l'économie, l'Institut colombien du bien-être familial, l'Institut des ressources naturelles non renouvelables, Proexpo, Colciencias, Colcultura, ICFES, et Coldeportes.
Sur la scène internationale, il créa et mit en marche le Pacte andin.
Lleras a dirigé un excellent gouvernement en tenant compte des besoins de la majorité des Colombiens.



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Eduardo Caballero Calderón (1910-1993), écrivain et journaliste.
Le distingué essayiste, chroniqueur, romancier et journaliste Eduardo Caballero reçut le prix Nadal en 1965 pour son livre Le bon sauvage.
Il est l'auteur d'une oeuvre littéraire abondante : des romans comme Serf sans terre et Le Christ de dos, des essais, comme Histoire privée des Colombiens, Américains et Européens et Bréviaire de Don Quichote.
Caballero Calderón fut membre de l'Académie colombienne de la langue et cofondateur du radiodiffuseur « El mundo en Bogotá », directeur du supplément littéraire du journal El Tiempo et chroniqueur au même journal sous le pseudonyme de « Swan ».

Lucas Caballero Calderón -Klim- (1913-1981), journaliste et écrivain.
Les articles de ce grand journaliste furent publiés dans le journal El Tiempo pendant quarante-cinq années.
Ses textes eurent un succès extraordinaire non seulement en raison de son exceptionnel talent d'écrivain mais également grâce à la force de ses critiques teintées d'humour vis-à-vis les politiciens contemporains.
Parmis ses livres on trouve Mémoire de la guerre des mille jours; Klim, quarante-cinq années d'humour et Mémoires d'un amnésique.

Nicolás Gómez Dávila (1913-1994), philosophe.
Les pensées de Gómez Davila, le philosophe le plus remarquable de l'époque récente, ont été publiées pour la première fois dans une édition spéciale des Ateliers Editorial Voluntad sous le titre de Textos.
En 1977, ses nouveaux écrits sont mis en lumière grâce au livre Nouvelles annotations à un texte implicite publié par Colcultura.
En 1992, l'Institut Caro y Cuervo fait paraître une suite à cet ouvrage intitulée Suite des annotations à un texte implicite.
En 2006, l'oeuvre complète des Annotations de ce grand penseur du XX e siècle est publiée.

Indalecio Liévano Aguirre (1917-1982), historien et politicien.
Distingué politicien, diplomate et historien, il occupa des postes politiques importants, fut ambassadeur de la Colombie aux Nations Unies, représenta le pays dans d'autres missions diplomatiques et fut membre de l'Académie colombienne d'histoire. De son oeuvre littéraire, soulignons ses livres Bolivar, Rafaël Núñez, Les grands conflits sociaux et économiques de notre histoire.
Il a reçu de nombreuses décorations comme la Grande Croix de l'Ordre de Boyacá et les plus hautes distinctions de huit autres pays.

Álvaro Gómez Hurtado (1919-1995), politicien, professeur, journaliste, et auteur.
L'odieux assassinat de cet homme intègre, un des journalistes et des intellectuels les plus estimés du pays, a soulevé l'indignation nationale.
Il avait été violenté par le passé : en 1953 il avait été expulsé de la Colombie suite au coup d'État mené par le général Rojas Pinilla et des années plus tard, il avait été kidnappé par les guérillas du M-19.
Ce docteur en droit fut le directeur des revues Síntesis económica et Revista colombiana (culture), propriétaire et directeur du journal El Siglo et du Noticiero 24 horas, fondateur et professeur de l'Université Sergio-Arboleda de Bogota et leader du parti conservateur.
Il occupa des postes diplomatiques et gouvernementaux très importants. Parmi ses multiples écrits il faut citer les ouvrages intitulés Je suis libre, La révolution en Amérique et Culture et civilisation. En 1977 il obtint le Prix national de journalisme.
On donna le nom de ce grand homme de lettres à la bibliothèque de l'Université Sergio-Arboleda et en 2006 on y ériga son buste.

Álvaro Valencia Tovar (1923-2014), intellectuel, historien et Général de l'Armée,
Le général Valencia Tovar, un homme intègre de grand courage et brillant intellectuel, contribua de façon importante au bien du pays.
Pendant sa carrière militaire remarquable, il assuma maintes hautes responsabilités. Il fut entre autres capitaine du «Bataillon Colombia » lors de la Guerre de Corée, Major dans les Forces de paix des Nations Unies en Égypte, chef de la délégation de la Colombie devant l'Assemblée interaméricaine de Défense à Washington, directeur des Écoles militaires des cadets et Commandant de l'Armée nationale.
Valencia est membre de numéro de l'Académie colombienne d'histoire et de la Société géographique de la Colombie.
On lui doit de nombreux livres, parmi lesquels Général de division José María Córdoba; Le final de Camilo; L'être guerrier d'El Libertador; Témoignage d'une époque; Histoire militaire contemporaine; Mes adversaires, les guerrilleros .

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